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SUJET :

les medicaments il y a 8 ans 8 mois #61

Parce que soulager un enfant qui souffre (des dents par exemple) ou qui monte ++++++ en température me semble important. Même si, quand le cas se présente, j'appelle en premier lieu les parents pour faire le point avec eux. S'ils peuvent être là rapidement, je ne donne rien, je les attend.
Ca arrive très rarement, je ne suis pas du genre à m'affoler parce qu'un bébé pleure un peu ou qu'il a 37.5° ;) J'appelle quand vraiment l'enfant ne va pas bien.

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les medicaments il y a 8 ans 8 mois #62

Je comprend d'un point de vue concret que vous puissiez faire une exception car vous n'arrivez pas a laisser l'enfant dans certains état et que les parents n'arriveront pas assez vite.
Cela dit,sur le principe ça contredit le fait de dire que vous refusez d'administrer tout médicament.

A moins que par "tout traitement" vous n'englobiez pas certains médicaments ,comme le dolipranne et ou les médicaments ponctuels/données en réaction dans es cas /éventualités non prévisibles(ce qui ne change rien sur le fond ,puisque ça reste des médicaments et qu'on a pas le droit d'en administrer, mais là je comprendrais le passage que j'avais cité qui me semblait dire tout et son contraire).

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Dernière édition: par peer.

les medicaments il y a 8 ans 8 mois #63

L’attention de la PMI a été attirée par le conseil de l’ordre des médecins de la Haute-Garonne sur la question de la prise de médicaments accueillis par des assistantes maternelles.
Je vous rappelle à cette occasion, les dispositions combinées de :
-l’article L4161-1 du code de la santé publique
-l’avis du conseil d’état du 9 mars 1999,
- la circulaire DGS/PS3/DAS n° 99-320 du 4 juin 1999 relative à la distribution de médicaments.
La position à retenir est synthétisée dans la note ministérielle sur la simplification administrative et la rationalisation des certificats médicaux.
Dans le cas d’un médicament prescrit, lorsque son mode de prise ne présente pas de difficultés particulières ni de nécessité d’apprentissage et lorsque le médecin n’a pas prescrit l’intervention d’un auxiliaire médical, l’aide à la prise du médicament est considéré comme un acte de la vie courante. Ainsi, l’autorisation des parents, accompagnée de l’ordonnance médicale prescrivant le traitement, suffit à permettre aux assistantes maternelles d’administrer les médicaments requis aux enfants qu’elles accueillent.

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les medicaments il y a 8 ans 8 mois #64

Voilà le courrier que l'on a reçu en date du 23 avril 2015 par notre Ram en provenance du conseil général de Haute-Garonne.

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les medicaments il y a 8 ans 8 mois #65

malice7431 écrit: L’attention de la PMI a été attirée par le conseil de l’ordre des médecins de la Haute-Garonne sur la question de la prise de médicaments accueillis par des assistantes maternelles.
Je vous rappelle à cette occasion, les dispositions combinées de :
-l’article L4161-1 du code de la santé publique
-l’avis du conseil d’état du 9 mars 1999,
- la circulaire DGS/PS3/DAS n° 99-320 du 4 juin 1999 relative à la distribution de médicaments.
La position à retenir est synthétisée dans la note ministérielle sur la simplification administrative et la rationalisation des certificats médicaux.
Dans le cas d’un médicament prescrit, lorsque son mode de prise ne présente pas de difficultés particulières ni de nécessité d’apprentissage et lorsque le médecin n’a pas prescrit l’intervention d’un auxiliaire médical, l’aide à la prise du médicament est considéré comme un acte de la vie courante. Ainsi, l’autorisation des parents, accompagnée de l’ordonnance médicale prescrivant le traitement, suffit à permettre aux assistantes maternelles d’administrer les médicaments requis aux enfants qu’elles accueillent.


L'aide à la prise(!) c'est différent comme le soulignait de mémoire notamment "biscuit", or "nous" n'aidons pas a la prise(en rappelant de prendre un medicament ou que sais je) mais nous administrons directement(/administrerions) et c'est là totue la nuance et duplicité sur la quelle joue les pouvoirs publics....

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