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Faut pas dire pauvre gamins, des personnes non agréées peuvent être de très bonne nounous, toute la différence se fait au niveau de la légalité, et en cas de maladie ou d'accident c'est la que cela posera problème. En cas de contrôle du fisc aussi .

Donc ces personnes la, peuvent fort bien travailler au domicile du particulier employeur, même en garde partagée pour alléger la facture. D'ailleurs elles sont souvent plus polyvalentes car elles acceptent souvent de faire un peu de ménage et les trajets pour les activités extra scolaire ce que nous ne faisons jamais.

Sitelle écrit: Faut pas dire pauvre gamins, des personnes non agréées peuvent être de très bonne nounous, toute la différence se fait au niveau de la légalité, et en cas de maladie ou d'accident c'est la que cela posera problème. En cas de contrôle du fisc aussi .

Donc ces personnes la, peuvent fort bien travailler au domicile du particulier employeur, même en garde partagée pour alléger la facture. D'ailleurs elles sont souvent plus polyvalentes car elles acceptent souvent de faire un peu de ménage et les trajets pour les activités extra scolaire ce que nous ne faisons jamais.

Ici, on parle des personnes qui gardent des enfants chez elles alors qu'elles n'ont pas l'agrément. Donc, rien ne dit que ces personnes sont vraiment sérieuses ni que leur domicile est sécurisé. De plus, les parents sont obligés de faire des fausses déclarations pour les déclarer ou de les payer au black et elles se permettent souvent de prendre au moins le vrai smic horaire donc elles se font payer plus cher que nous ! Au final, je ne pense pas qu'il y ait des parents qui font appel à leurs services car ils n'y ont aucun intérêt, mais pour le principe, quand je tombe sur ce genre d'annonce et que la personne ne veut pas la retirer, je dénonce à la direccte et à l'urssaf et là, ça bouge !

Tout à fait d’accord avec vous Dauphin..
Sans parler de la sécurité de ces pauv’gamins.. (en cas d’accident).

Il ne faut donc pas dire pauvre Gamins mais plutôt riches parents;;; c'est à cela que je répondais