SUJET :

Bonjour,
Je garde un enfant de 16 mois la maman est enceinte de son deuxiéme.
Pendant son congés maternité elle souhaite arder son enfant aprés elle reprends son travail et j'aurais de nouveaux les deux enfants..
Serat il possible qu'elle me licencie pour me reprendre 3 mois aprés la naissance pour la fratrie ?
Ais je droit au pole emploi ?
Je précise que ce seras 2 gros contrat et pas envie de les perdre

merci pour vos conseils

Oui je pense que c'est possible mais ça dépend de chaque secteur de pôle -emploi....Ici ils acceptent un licenciement puis reprise de contrat avec le même employeur.....

il y a bien une interruption donc pas de raison que ce soit refusé

Bonjour,
Je l'ai fait cette année pour 3 semaines d'interruption ( changement de volume horaire) et pas de problème avec pôle emploi!!!
Ne pas oublier de faire une promesse d'embauche !!

bonjour

tu peux aussi demander a la maman de baisser tes heures, ainsi, tu seras dispo pour elle pour ses rdv medicaux, elle pourra faire la sieste tranquille et d'autre chose auquel a, elle n'a pas pensé.

et en plus ainsi , elle est plus sur de garder la place
et toi , tu gardes l'ancienneté

a voir, car pole emploi marchera sans doute, mais parfois avec les jours de carence, ce n'est pas forcément interressant (perso, la première fois, ils ont mis deux mois avant de me payer qqchose)

Oui mais il faut quand même se méfier.

Combien de maman te disent qu'ils te reconfieront les enfants et finalement prennent un congé parental ou obtiennent (oh miracle) des places en crèche ? J'en ai fait les frais au début de mon activité et c'était une amie...

Donc tu auras baissé tes horaires et salaire, pour te retrouver licencier quand même, avec des indemnités chômages calculées sur un salaire diminué.

Je préfère le licenciement, et sans garantir à l'employeur de garder 2 places de libre pour les 2 enfants.

Ou alors elle maintient le salaire, et là ça lui garde la place et là on peut accepter de réserver une place pour le nouveau bébé.

Si licenciement et reprise, rien n'interdit de négocier la reprise de l'ancienneté lors de la signature des nouveaux contrats.