SUJET :

kikine747 écrit:

NoounouC écrit: C'est tout à votre honneur par contre certains PE ne raisonnent malheureusement pas comme vous .

Refuser un enfant malade c'est parfois une nécessité pour protéger un nourrisson en accueil par exemple car il ne faut pas oublier que nous avons une obligation de moyens en ce qui concerne la santé des enfants en accueil.

non pas une obligation de moyen mais une obligation de résultat ce qui est encore plus contraignant

De mémoire c'est bien une obligation de moyens en ce qui concerne la santé mais une obligation de résultats en ce qui concerne la sécurité... mais ma mémoire peut me jouer des tours

NoounouC écrit:

kikine747 écrit:

NoounouC écrit: C'est tout à votre honneur par contre certains PE ne raisonnent malheureusement pas comme vous .

Refuser un enfant malade c'est parfois une nécessité pour protéger un nourrisson en accueil par exemple car il ne faut pas oublier que nous avons une obligation de moyens en ce qui concerne la santé des enfants en accueil.

non pas une obligation de moyen mais une obligation de résultat ce qui est encore plus contraignant

De mémoire c'est bien une obligation de moyens en ce qui concerne la santé mais une obligation de résultats en ce qui concerne la sécurité... mais ma mémoire peut me jouer des tours

j'ignorais pour l'obligation de moyen pour la santé ( c'est pas uniquement pour les pro de la santé?) car je pensais que nous n'avions que l'obligation de sécurité, nous ne sommes pas médecin et, de plus les parents peuvent très bien mentir sur la santé de leur enfant.. (une gastro que l'on fait passer pour une crise de dent..) donc cette obligation me parait difficilement réalisable d'autant plus que nous ne sommes pas censées donner de médicament..

Mr Chaton écrit: Le sujet parle des absences d'une assmat et de la variation des aides si absence.
Le crédit d'impot lui est basé sur le net versé à l'asmat sur une année entière, absence ou non.

Alors en effet c'est une somme mais elle est loin de couvrir ce que nous payons de "notre poche" sur un an.
Dans mon cas cela rembourse même pas 3 mois de salaires versé (uniquement sur le restant à payer par moi-même).

Donc oui cela aide un peu, mais quant on à un loyer, un prêt, des charges etc à payer, et que l'on doit dépenser 450e par mois pour la garde de notre enfant, on ne va pas dire non à une aide comme le crédit d'impot si on y a le droit.

Je comprends très bien tout ça mais il est utile, à mon avis, de souligner ces autres avantages comme la prise en charge des cotisations sociales aussi.
Car très peu de parents font le bilan annuel.

Heuresement que les cotisations sociales sont prises en charge. Sans cela seul les riches pourrais payer une assmat ^^
J'avais regarder avec 750e net de salaire pour mon assmat si je devais payer les cotisations sociales j'en avais au total pour plus de 1200e par mois. C'est juste pas possible, heuresement que les PE ont des aides aussi.

Mr Chaton écrit: Heuresement que les cotisations sociales sont prises en charge. Sans cela seul les riches pourrais payer une assmat ^^
J'avais regarder avec 750e net de salaire pour mon assmat si je devais payer les cotisations sociales j'en avais au total pour plus de 1200e par mois. C'est juste pas possible, heuresement que les PE ont des aides aussi.

Je ne dis pas le contraire mais ça reste des avantages à prendre en compte. Il fut un temps où tout cela n'existait pas et puis un autre où ils étaient moins intéressant que maintenant. Alors pour le bien de tous, pe et Assmat, pourvu que ça dure.

kikine747 écrit:

NoounouC écrit:

kikine747 écrit:

NoounouC écrit: C'est tout à votre honneur par contre certains PE ne raisonnent malheureusement pas comme vous .

Refuser un enfant malade c'est parfois une nécessité pour protéger un nourrisson en accueil par exemple car il ne faut pas oublier que nous avons une obligation de moyens en ce qui concerne la santé des enfants en accueil.

non pas une obligation de moyen mais une obligation de résultat ce qui est encore plus contraignant

De mémoire c'est bien une obligation de moyens en ce qui concerne la santé mais une obligation de résultats en ce qui concerne la sécurité... mais ma mémoire peut me jouer des tours

j'ignorais pour l'obligation de moyen pour la santé ( c'est pas uniquement pour les pro de la santé?) car je pensais que nous n'avions que l'obligation de sécurité, nous ne sommes pas médecin et, de plus les parents peuvent très bien mentir sur la santé de leur enfant.. (une gastro que l'on fait passer pour une crise de dent..) donc cette obligation me parait difficilement réalisable d'autant plus que nous ne sommes pas censées donner de médicament..

Si j'ai bien compris c'est sur cette obligation de moyens que se fonde le fait qu'on ne doive pas accueillir les enfants non vaccinés car on met potentiellement les autres enfants en danger (notamment les nourrissons qui n'ont pas encore eu leurs vaccins car pas encore l'âge).

Cela ne veut pas dire que face à un enfant fébrile tu dois lui donner du doliprane, ça veut dire que tu mets en place ce qui est nécessaire : prise de température, appel des parents, découvrir et hydrater l'enfant et si nécessaire et si tu as une ordonnance et un protocole du médecin et que tu acceptes d'administrer des médicaments dans ce cas là tu donnes une dose après avoir vérifié que les parents n'en ont pas déjà donnée une quelques heures avant (risque de surdosage) et si tu n'as pas ces documents tu fais le 15 et tu suis leurs instructions (on ne peut pas te reprocher de ne rien avoir donné si le médecin du SAMU a estimé que ce n'était pas nécessaire).

D'après ce que j'ai compris, avec autorisation des parents :
- Pas d'ordonnance = exercice illégal de la médecine = risque maximal, à proscrire;
- Une ordonnance = là ça se complique car tout le monde n'interprète pas de la même manière la notion "d'aide à la prise de médicaments" mais ça arrange bien certains si l'on donne des médicaments (même si un jour ça peut se retourner contre nous) = un risque quand même, donc à éviter au maximum quand même à mon sens tant que les choses ne sont pas clairement tranchées.