Si vous êtes venue chercher une réponse légale à votre question vous l'avez eue.
Si vous êtes venue chercher notre approbation pour ne pas payer une semaine de préavis qui est due, vous ne l'aurez pas car ce serait vous mettre dans une situation bien délicate puisque vous risquez d'y perdre bien plus.
173 heures de régul que vous auriez payé en trop à votre AM c'est énorme surtout avant les semaines d'absence d'été, il serait intéressant de vérifier que vous n'avez pas fait d'erreur en utilisant l'outil de ce site. Je n'ai jamais vu une telle régul à cette période de l'année sauf en manque à gagner pour l'AM (notamment pour des contrats enseignants, ce qui fait que les PE choisissent de nous licencier plutôt pour fin août de façon à bénéficier de l'aide de la PAJE aussi en août).
Si vous le souhaitez ont peut vérifier avec vous qu'il n'y a pas eu d'erreur, mais pour cela il nous faut :
- le nombre de semaines d'accueil prévu par an;
- la date à laquelle a commencé la mensu;
- le nombre de semaines sans accueil programmé depuis la date anniversaire de la mensu.
Par contre je ne comprends pas, dans votre premier post il s'agissait de 49,5 heures de régul qui correspondaient exactement aux heures de la première semaine de juillet et maintenant il s'agit de 173 heures
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Vous avez retiré votre fille car vous estimiez que votre salarié avait un "mauvais comportement", la législation prévoit ce cas cela s'appelle le "licenciement pour faute". Si vous étiez en mesure de prouver les faits et qu'ils étaient suffisamment graves, la loi prévoit qu'il n'y ait pas de préavis. Si vous estimez que les enfants sont en danger chez elle, votre devoir est de prévenir la PMI.
J'ignore ce que vous appelez "mauvais comportement", mais si les faits sont graves la loi était donc aussi de votre côté, mais maintenant que vous avez rompu le contrat par retrait d'enfant il est trop tard.
L'agacement de Cedila est compréhensible car on voit malheureusement régulièrement des parents, par ailleurs très satisfaits pendant plusieurs années de leur salariée, trouver des fautes imaginaires au moment de la rupture du contrat pour essayer de ne pas payer l'indemnité de rupture.