Bonsoir,
je crois que le point important c'est le bien-être de votre enfant.
Avez-vous des pistes sur les pleurs de votre enfant ? Elle signifie peut-être simplement qu'elle est bien à l'école et qu'elle est suffisamment "grande" pour y rester toute la journée avec ses copains/copines, que la transition entre "chez nounou" et "l'école" s'est bien passée.
Le midi il n'y a souvent pas beaucoup de temps pour se poser ou jouer car entre les trajets et le repas (encore plus en hiver avec les habillages/déshabillages) c'est souvent la course et au final la cantine peut laisser plus le temps de souffler même si c'est plus bruyant.
Pour ce qui est des avenants non seulement ils ne sont pas obligatoires (nous signons des CDI) mais surtout ils peuvent être refusés par l'autre partie, ce qui oblige la partie demandeuse à poursuivre selon les conditions en cours ou prendre l'initiative de la rupture du contrat.
Le fait que vous ayez souhaité dès le départ que 'accueil puisse se poursuivre jusqu'aux 6 ans de votre enfant n'engageait personne, ni vous ni votre AM. Pas vous puisque le retrait d'enfant est libre et pas votre AM puisqu'elle avait tout loisir de refuser les avenants lors de la scolarisation.
Je ne sais pas si votre AM avait beaucoup d'expérience lors de la signature du contrat mais il semble qu'elle n'ait pas bien mesuré certaines contraintes liées à l'accueil de périscolaires et notamment les bébés à habiller et sortir plusieurs fois par jour (ce qui peut être compliqué avec les horaires des siestes), en plus en ce moment avec les consignes sanitaires à l'école ça peut être encore plus compliqué.
Une remarque sur les avenants pour le passage en périscolaire : ces avenants entraînent une perte de salaire pour la salariée qui n'est pas compensé par pole-emploi alors qu'un licenciement peut ouvrir des droits, donc la salariée n'a bien souvent aucun intérêt à accepter ces avenants. Visiblement votre AM a accepté car un bébé devait venir compenser la perte de salaire et l'accueil de votre enfant devait venir compléter d'autres accueils et donc ne pas bloquer de place. Là elle découvre à ses dépens qu'au final elle aurait mieux fait de refuser l'avenant car non seulement le bébé ne vient pas et pas forcément facile de trouver un "remplaçant" qui plus est avec comme contrainte de ne pas dépasser son agrément quand elle accueille votre fille mais en plus l'accueil de votre enfant est devenu difficile.