SUJET :

non ce n est que la deuxieme semaine où j ai accepté et j avais accepté pour un jour pas pour trois hebdomadaires... je trouve ça hallucinant, dans l'autre sens je peux alors modifier les termes du contrat comme ça me chante alors et ne pas la licencier si on suit cette logique... je ne vais pas l enfermer chez elle oui c est mon enfant et je dois le recuperer là où je le dépose également sinon toutes les ass mat peuvent aller vaquer à leurs occupations et aux parents d aller récuoerer leurs enfants en fonction de l emploi du temps de l ass mat... je n'insiste pas lourdement mais je paye pour sue ma fille soit gardée chez elle à faire des activités chez elle, désolée mais je ne paye pas pour que ma fille passe du temps dans un gumnase ou dans l entree d une piscine ...merci mesdamnes je vais en discuter et aviser si besoin

Personne ne dit que vous avez tort et je comprend parfaitement votre point de vue.
Mais là, on parle "légalité"
Selon la loi, qui est la même pour tout les salariés:
1/ Un employeur ne peut pas obliger un salarié à démissionner
2/ La modification d'un contrat se fait avec un avenant. La partie qui souhaite en changer les termes devient décisionnaire de la poursuite ou de la rupture de ce contrat selon la réponse de l'autre partie. Votre assmat vous a t'elle présenté un avenant avec les nouvelles conditions d'accueil ? Avez vous une trace écrite ?
3/ Pour licencier un employé pour faute, il faut avoir la preuve de cette faute. Ce qui est bien normal, sinon ce serait la porte ouverte à tous les abus!!
4/ Un licenciement pour faute,(sauf faute lourde ou grave, mais ce n'est pas le cas ici), ne supprime pas les droits au chomage
Voila: ces règles sont valables pour tout salarié: vous, elle........

c'est gentil, non pas d'avenant pour changement de lieu de départ de l'enfant et elle garde ma fille que depuis mars 2018... c est delicat de licencier comme vous dites il faut une faute et en même temps je ne peux pas la forcer à démissionnet et je ne veux plus aller chercger ma fille ailleurs donc la situation est complexe ... on verra ce qu elle me dit

Bonjour

Je me permets d'apporter mon soutien à l'employeur, les modalités d'accueil ne correpondent plus à ce qui à été défini au départ, évidement on ne peut pas obliger un salarié à démissioner.

Vous pouvez tout à fait mettre fin au contrat, quand vous le souhaitez. Vous n'avez pas à vous acquitter le l'indemnité de rupture puisque le contrat à moins d'un an.

Le retrait d'enfant étant libre, vous n'avez pas non plus à motiver votre décision. Vous devez juste respecter les délais légaux (15 jours de préavis, et régler le salaire du mois (si pas complet déduction calcul cours de cassation), et l'indemnité compensatrice de cp.
Si le contrat à débuté en mars, il ne doit pas rester beaucoup de cp.

Bon courage.

merci de vos réponses, c est dommage , elle n'a plus que ma fille comme contrat mais autant elke pense à ses enfants ce qui se comorebd autant je dois penser à ma fille ...

shahyra écrit: merci de vos réponses, c est dommage , elle n'a plus que ma fille comme contrat mais autant elke pense à ses enfants ce qui se comorebd autant je dois penser à ma fille ...

Mais je vous comprends tout à fait et je comprends que vous soyez dépitée.
Je vous souhaite de trouver la professionnelle qui correspondra à vos attentes.
Sachez qu'on peut être maman de famille nombreuse (c'est mon cas), avec des enfants qui font (et ont toujours fait) des activités extra-scolaires et pour autant ne pas emmener les enfants en accueil à droite et à gauche. Il suffit de s'arranger avec d'autres parents, de mettre à contribution le papa et de choisir aussi le lieu et les activités en fonctions des jours et horaires proposés. Bien évidemment il m'est arrivé exceptionnellement d'avoir un de mes enfants à déposer ou récupérer quand le papa était indisponible ou la personne qui les emmenait habituellement, mais c'est toujours en accord avec mes PE et quand je dis exceptionnel, c'est que cela se compte sur les doigts d'une main pour une année et que bien entendu les parents récupèrent toujours leur enfant chez moi.