SUJET :

Je pense que cet article portera de toute façon toujours à confusion.
Chacun le comprend comme il souhaite.
Chaque tribunal des prud'hommes aura son appréciation souveraine.
Il faudra attendre, je pense, une décision de la chambre sociale de la Cour de Cassation, qui j'espère se prononcera un jour sur cette question afin d'avoir une application homogène sur le territoire national et qui fera jurisprudence.

Je me suis mal exprimée.
Je voulais dire qu'il fallait attendre la date du 30 avril 2014 tout simplement.

Après, je ne cherche pas à entrer dans une querelle syndicale.
J'informe juste de la réponse qui m'a été apportée.
L'intérêt d'une discussion est d'échanger.
Maintenant, si j'ai un conseil à lui donner c'est de contacter l'inspection du travail près de chez elle qui lui apportera la réponse.

Ce que je ne comprends pas c'est l'intérêt de pinailler sur un texte qui reste pourtant assez clair, en défaveur de pauvres assmats qui se font licencier sans toucher d'indemnités de rupture (et encore moins de prime de licenciement !) et qui sont, il faut bien le dire, payées au lance-pierre. Ca se monte à quoi 2, 4 ou mêm 6 jours ouvrables en euros sur des salaires en-dessous du smic ? Franchement, il y a bien d'autres sujets plus importants sur lesquels se battre.

Quant aux inspections du travail,, elles ne sont pas toujours au fait et de l'une à l'autre les infos peuvent être différentes.

L'intérêt n'est pas de pinailler sur le texte mais d'apporter une réponse à la question posée.
Je ne comprends pas d'ailleurs cet énervement.
C'est une discussion, on a le droit de ne pas être d'accord, à ce que je sache...
D'ailleurs, je ne suis pas la seule à tenir ce discours quand même.

Je rappelle que le SPAMAF, syndicat majoritaire dans la profession des assistants maternels à hauteur de 48.36% dit la même chose. Je rappelle qu'il fait parti de la liste des organisations syndicales reconnues représentatives dans la convention collective nationale de travail des assistants maternels du particulier employeur.

Je ne voit pas le rapport avec les assistantes maternelles mal payées.
Je ne dénigre pas la profession, bien au contraire, et heureusement qu'il y'en a pour garder les p'tits bouts de chou.

De plus, je pense que si les gens posent la question, c'est que le texte n'est pas si clair que cela.

Il est clair pour toi et moi et pourtant n'avons pas la même interprétation du texte.

C'est pour cela que je disais que j'espère qu'un jour la cour de cassation se prononcera pour qu'il n'y'ait pas de disparité sur le territoire national, de façon à ce que cela soit appliqué partout pareil.

Sur ces dernières paroles, je te souhaite une bonne soirée.

lillouche écrit: L'intérêt n'est pas de pinailler sur le texte mais d'apporter une réponse à la question posée.
Je ne comprends pas d'ailleurs cet énervement.
C'est une discussion, on a le droit de ne pas être d'accord, à ce que je sache...
D'ailleurs, je ne suis pas la seule à tenir ce discours quand même.

Je rappelle que le SPAMAF, syndicat majoritaire dans la profession des assistants maternels à hauteur de 48.36% dit la même chose. Je rappelle qu'il fait parti de la liste des organisations syndicales reconnues représentatives dans la convention collective nationale de travail des assistants maternels du particulier employeur.

Je ne voit pas le rapport avec les assistantes maternelles mal payées.
Je ne dénigre pas la profession, bien au contraire, et heureusement qu'il y'en a pour garder les p'tits bouts de chou.

Bonjour,

je me suis bien relue. Je ne vois pas où je me suis énervée. Tu dis une chose, j'en dis une autre et j'argumente, je ne m'énerve pas plus que toi.

Et je sais bien ce que dit le Spamaf et c'est pour cette raison que je ne comprends pas leur attitude. Ils sont censés défendre une profession pas lui mettre des bâtons dans les roues.