SUJET :

Nous savons qu'elle ne souhait pas faire plus d'heure. Ceci dit merci qd mm je vais donc détaillé un peu plus nos raisons en ajoutant toutes les petites choses qui nous allaient pas ( enfin pas trop quand meme car je ne veux pas remettre en cause sa maniere de faire, juste lui signifier que cela ne nous correspond pas ).

si elle ne souhaite pas faire plus d'heures vous lui présentez un avenant à la hausse qu'elle refusera par lettre RAR et ensuite vous pourrez lui signifier la rupture du contrat car là reprochez plein de petites choses???ce n'est pas réellement un motif recevable pour une rupture

Actuellement vous avez une autre assmat je pense.

Vous dites qu'elle ne vous laisse 48 heures pour trouver une solution.
J'ai fait un remplacement d'une collègue pour congé maladie. Ma collègue ne disait pas aux parents si elle serait arreter la semaine suivante ou pas Elle attendait que son arret soit terminé pour avoir une prolongation J'avais la surprise le lundi si j'avais l'enfant ou pas Les parents l'ont licencié (en même temps cela l'arrangeait)
Je ne connais pas le motif du licenciement de ma collègue

Vous dites qu'elle refuse des heures supplémentaires? Comme dirait Dacia présentez lui un avenant et si elle le refuse, vous la licencierez et aurez le motif de licenciement

Bonjour,

Peut on imaginer que le bien être d'un enfant qui a pris de nouvelles habitudes et un nouveau rythme chez l'assistante maternelle de remplacement soit un motif recevable?

Est il prévu un retour de l' assistante maternelle à une date précise? Le climat était il bon avant son arrêt?

Je pense qu'on ne licencie pas quelqu'un juste pour un arrêt de travail isolé...

c'est effectivement ma principale préoccupation. L'ass mat enchaîne les prolongations qui se comptent en mois. Nous avons changé de remplaçante déjà 2 fois et rien ne me dit que cela ne va pas continuer. Dans mes maigres recherches, je n'ai pas vu explicitement que cet argument était recevable mais il est connu.

Dans ce type de licenciement‚ il y a toujours un risque.

Le salarié peut ne pas apprécier et rien ne l'empêche de saisir les prud'hommes qui eux jugeront la situations.