kikine747 écrit: parce que vu la reconnaissance que nous avons, les pe qui se servent de nous comme bouche trou en attendant la crèche, d'autre qui nous prennent pour des "limitées de réflexion" (pour être polie), ceux qui veulent le plus de souplesse et de disponibilité tout en payant le moins possible, le gouvernement qui nous refuse des droits élémentaires (médecine du travail, et j'en passe) les pmi qui exigent de nous des contraintes de plus en plus impossibles, les organismes (pajemploi) qui refuse de nous accorder la défiscalisation et désocialisation des hc-hs.... personne ne bouge pour nous, juste pour que droits soient respectés...
et là les pmi et gouvernement qui nous met sciemment en danger en nous disant en plus que si l'enfant ne vient pas on doit déduire si le pe ramène un certificat alors que lui est payé pour garder son enfant alors que nous nous devront déduire... que toutes les structures accueillant des enfants doivent être fermées mais pas nous...
et après il faudrait que NOUS soyons solidaire, ils savent bien nous trouver quand ils ont besoin.... mais la reconnaissance elle est ou???? on ne respecte même pas nos droits et tout va bien.... nous sommes considéré comme des sous employées
alors oui quand je vois tout ça, ça me révolte car comme d'habitude, la solidarité a sens unique, le chantage affectif car nous aons un métier humain (bah oui justement moi aussi je suis humaine et j'estime avoir le droit de ne pas toujours faire de concessions qui me desservent) bah j'en ai marre!!!
voilà désolée les filles pour mon coup de guele mais à un moment faut que ça sorte!!
donc oui j'ai de la rancoeur
Vous avez l'air vraiment désenchantée de ce métier, ne serait ce le bon moment pour réorientation pour vous ?
Personnellement, je me réjouis de garder plus d'enfants dans les semaines à venir à cause des fermetures d'école. Non seulement les parents me sont très reconnaissants, mais en plus j'y vois l'occasion d'avoir un meilleur salaire.

Et je pense que le fait que le gouvernement s'appuie justement sur nous pendant cette crise plutôt comme une aubaine qu'autre chose. C'est justement qu'il a pris conscience des atouts et de la qualité de l'accueil individuel.