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Shania écrit: Dans le cas présent, il y a 16 semaines sans l'enfant, donc l'employeur accorde bien 5 semaines de congés à l'AM.

Le fait que l'AM ne prenne pas de congés avec ses autres employeurs ne regarde pas celui-ci.


Alors sur ce point, je ne suis pas d'accord, car l'employeur doit s'assurer que son salarié bénéficie de ses congés, et qu'il ne peut pas accueillir d'enfant sur ces temps de congés. Car sinon, tacitement, il serait d'accord pour que cette personne travaille non stop.

L'AM n'a certes pas donne de dates de congés, mais vu que, selon la loi, les congés doivent être pris à raison de 4 semaines en été, on peut considérer qu'elle a pris ses 3 semaines 1/2 de congés acquis. Donc on les compte pour le calcul des nouveaux congés.

Mais au fait, pourquoi calculer ces congés maintenant ?

Non, l'AM a fait une faute en ne donnant pas ses dates de congés au 1^er mars. Des lors, c'est qu'elle laisse à l'employeur le choix des dates. D'ailleurs elle ne travaillé pas non stop avec cet employeur puisqu'elle a bien 16 semaines sans l'enfant.

L'employeur des 36 sem n'a pas à imposer à un autre employeur de fixer des dates de congés : ça ne le regarde pas.

Shania écrit: Non, l'AM a fait une faute en ne donnant pas ses dates de congés au 1^er mars. Des lors, c'est qu'elle laisse à l'employeur le choix des dates. D'ailleurs elle ne travaillé pas non stop avec cet employeur puisqu'elle a bien 16 semaines sans l'enfant.

L'employeur des 36 sem n'a pas à imposer à un autre employeur de fixer des dates de congés : ça ne le regarde pas.

Non, mais ce n'est pas ce que j'ai dit.
J'ai dit que l'employeur devait bien s'assurer que son am avait bien 5 semaines de congés tout employeur confondu.

Car comment fera cet employeur si son am à un accident du travail alors que pour lui elle est censée être en congés ?

metal1988 écrit:

Shania écrit: Non, l'AM a fait une faute en ne donnant pas ses dates de congés au 1^er mars. Des lors, c'est qu'elle laisse à l'employeur le choix des dates. D'ailleurs elle ne travaillé pas non stop avec cet employeur puisqu'elle a bien 16 semaines sans l'enfant.

L'employeur des 36 sem n'a pas à imposer à un autre employeur de fixer des dates de congés : ça ne le regarde pas.

Non, mais ce n'est pas ce que j'ai dit.
J'ai dit que l'employeur devait bien s'assurer que son am avait bien 5 semaines de congés tout employeur confondu.

Car comment fera cet employeur si son am à un accident du travail alors que pour lui elle est censée être en congés ?

l'accident de travail sera pris en compte que pour les pe des enfants présent et eux seuls. Pour les autres elle sera en arrêt maladie simple.

Je ne sais pas du tout ses dates de congés et je ne vois pas les autres parents. Je ne sais même pas si elle pose des congés...

Shania écrit: Dans le cas présent, il y a 16 semaines sans l'enfant, donc l'employeur accorde bien 5 semaines de congés à l'AM.

Le fait que l'AM ne prenne pas de congés avec ses autres employeurs ne regarde pas celui-ci.

L'AM n'a certes pas donne de dates de congés, mais vu que, selon la loi, les congés doivent être pris à raison de 4 semaines en été, on peut considérer qu'elle a pris ses 3 semaines 1/2 de congés acquis. Donc on les compte pour le calcul des nouveaux congés.

Mais au fait, pourquoi calculer ces congés maintenant ?

mon assistante maternelle à été en arrêt maladie puis en congé maternité de Janvier à octobre. Le contrat a repris je dois donc finir de lui payer ses CP jusqu'en mai 17 et payé ceux depuis juin 17. Entre temps l'autre assistante maternelle calculait ses vacances différemment ( avec un tableau et dès qu'elle avait travaillé 4 semaines elle obtenait ses 2,5 jours. cette méthode de calcul me paraissait plus clair et du coup j'ai calculé les CP de mon assistante maternelle.